Je vous demande de fermer les yeux et d'imaginer un endroit calme

By Michelle Lapierre-Dallaire

Je vous demande de fermer les yeux et d’imaginer un endroit calme est une déclaration d’amour à toutes les femmes et en particulier à celle qui a été tout pour elle : unique, magnifique, explosive et terrible. Sa mère.

Partant de ce rapport amoureux fondamental avec la mère, l’autrice explore l’évolution de son identité queer, la complexité des sororités, les multiples visages du désir et la difficulté de s’affranchir des hommes.

Très remarquée à la parution de son premier récit d’autofiction, Michelle Lapierre-Dallaire poursuit son œuvre bouleversante avec un second récit tout aussi poignant, percutant, féministe et poétique.

About this book

Type:

Roman
Kind:

Autofiction
Audience:

Grand public
Format:

13 cm x 20 cm
Number of pages:

212
Published date:

February 2024
ISBN:

9782897071943 (Paper)

9782897071967 (ePub)

9782897071950 (PDF)

Awards

Prix des libraires du Québec (liste préliminaire), 2025, Romans, nouvelles, récit

Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean (lauréate), 2024, Romans, récits et nouvelles

In the media

« La plume de Michelle Lapierre-Dallaire est certes empreinte de violence, dévastatrice, d’une authenticité parfois intolérable. Mais elle est aussi de plus en plus posée, ancrée, ouverte vers l’extérieur et, surtout, lumineuse et remplie de compassion [...] » - Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir

« [...] le traitement de l’autrice n’imite en rien le style provocateur des tribunes populaires, n’en déplaise aux voyeur·ses. L’écrivaine réussit plutôt l’exercice délicat de se mettre à nu en se servant de la littérature comme d’un levier, exhumant les morceaux de ses failles et de ses fragilités pour les assumer au-delà du vertige. » - Isabelle Beaulieu, Lettres québécoises

« Elle nous a bouleversés avec son premier roman, un récit d’autofiction d’une violence sans nom. Revoilà Michelle Lapierre-Dallaire en force, avec un deuxième opus dans la même veine, replongeant le lecteur entre sale nausée et pure fascination. C’est un euphémisme. » - Silvia Galipeau, La Presse