La surface de jeu

Un livre mystérieux sur les zambonis, une conspiration dans la LNH… Claude et ses chums enquêtent.


Imaginons un employé du gouvernement, appelons-le Claude Provost. Imaginons que Claude, grand passionné de pools de hockey et de toutes choses LNH, trouve un jour un livre dans une bouquinerie. Son titre : La surface de jeu. Il s’agirait d’un manuel d’entretien des patinoires et des surfaceuses — mieux connues sous le vocable de zambonis.

Imaginons ensuite que Claude entende au téléjournal sportif une phrase qui provient textuellement du livre : « L’inconnue, c’est la surface de jeu. » La même phrase referait surface dans un article de La presse canadienne.

Imaginons que Claude fasse de ce livre une obsession, et que ses amis et lui s’exposent à des menaces à force d’enquêter. Imaginons que La surface de jeu révèle l’existence d’un potentiel scandale aux proportions bibliques : une conspiration aurait lieu au cœur même de la sacro-sainte Ligue nationale de hockey.

Ce livre, vous le tenez entre vos mains.

À propos du livre

  • Type:

    Roman

  • Genre:

    Fiction

  • Public cible:

    Grand public 

  • Format:

    13 cm x 20 cm, couverture souple

  • Nombre de pages:

    288

  • Date de publication:

    Septembre 2020

  • ISBN:

    9782897071325 (Papier)

Dans les médias

    « Le hockey et l’art de conter, on le sait depuis longtemps, sont les deux faces de la même rondelle. Et on les retrouve avec plaisir dans le premier roman de Hugo Beauchemin-Lachapelle. » - Balle Courbe
    « À l’aide d’un style truculent, Hugo Beauchemin- Lachapelle nous mitraille de gags à pleines pages comme d’autres tirent des rondelles à bout portant. Légère, mais pas volatile, sa surface de jeu est celle des mots et des clichés sur lesquels il surfe habilement. » - Mario Cloutier, En toutes lettres
    « C’est un premier roman rempli d’humour, de mystère et de touches poétiques. Une histoire drôlement bien ancrée dans l’air du temps offrant un plongeon au cœur de la mécanique de la conspiration. » - Sarah-Émilie Nault, Le journal de Montréal

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