Lettres crues
Théâtre épistolaire de la littérature à l’époque des médias sociaux
Par Bertrand Laverdure et Pierre Samson
La correspondance littéraire est un sport de contact. Lettres crues, c’est un vigoureux ballet d’opinions, de confidences impudiques et de poings levés. C’est une conversation qui se transforme en amitié au fil des chemins de la fiction.
Dans cet échange musclé, Bertrand Laverdure et Pierre Samson se mettent en danger, dansent sur le ring et rebondissent dans les câbles. il sera question des joies et des misères des écrivains québécois, d’art du roman, de Tokyo et de Saint-Liguori ; de danseuses nues et de travailleurs guatémaltèques ; de listes et du night life montréalais ; du principe de singularité et de sexe ; d’expédients, de braquages, de la disparition des intellectuels et de notre propension au ridicule.
En somme, il s’agit d’un spectacle où l’enjeu serait moins l’audimat que la défense de la culture, et l’expression d’un amour fou pour la littérature.
À propos du livre
-
Genre:
Correspondance
-
Collection:
L'Ouvroir
-
Public cible:
Adulte
-
Format:
14 cm x 21 cm
-
Nombre de pages:
392
-
Date de publication:
Août 2012
-
ISBN:
9782897070090 (Papier)
9782897070236 (ePub)
9782897070229 (PDF)
À propos des auteur(es)
-
Bertrand Laverdure
Bertrand Laverdure porte aujourd’hui plusieurs casquettes : poète, romancier, journaliste littéraire et éditeur. Il a publié de nombreux ouvrages et il a également fondé une maison d’édition éphémère en 2002, Les petits villages. Il considère qu’un poète est comme un être qui cherche un terrain d’entente entre ses lubies et toutes les possibilités de diffusion offertes aujourd’hui. Possibilités qu’il explore d’ailleurs largement avec ses livres, mais aussi en faisant partie du comité de rédaction de la nouvelle revue d’art, littérature et cinéma OVNI.
-
Pierre Samson
Romancier, Pierre Samson a été banquier, chauffeur, barman, puis recherchiste, scripteur et scénariste à la télévision (on lui doit la série télévisée Cover-Girl). Il s’exile en 1995 à Toronto pour écrire son premier roman, Le Messie de Belém. De retour à Montréal, il publie Un garçon de compagnie qui fut en lice pour le Prix du Gouverneur général du Canada en 1998. En 2000, il a reçu le Prix de l’Académie pour Il était une fois une ville. Le Prix littéraire des collégiens 2008 lui a été décerné pour son roman Catastrophes. Il a collaboré à plusieurs reprises au quotidien Le Devoir.